L’association Fractales a été créée en 2015 à l'initiative de Françoise Gneri, musicienne chambriste et professeure au Conservatoire national de Musique et de Danse de Lyon (CNSMD). Rapidement l’association s’est constituée autour d’un collectif de musiciens qui regroupe aujourd'hui une vingtaine de musicien(ne)s étudiant(e)s, ainsi que des enseignants et des musicien(ne)s professionnel(le)s.
Un concept innovant
Le Collectif est un véritablement outil de professionnalisation au service des jeunes musiciens, avec une ambition sociétale forte : « Nous formons de jeunes musiciens à donner des concerts originaux à destination des publics éloignés des salles de concert. Notre idée est d’amener la musique classique dans toutes les couches sociales, en réalisant un travail de terrain ». Elle leur donne également des outils pour devenir à leur tour créateurs de projets.
Une démarche atypique
Collectif inclassable, il se revendique comme un espace de liberté, de partage de savoir et de ressources musicales et humaines. Véritable pas de côté dans l'univers compétitif de la musique classique, le Collectif Fractales est une famille solidaire qui s'agrandit au fil du temps.
Un répertoire à 360°
Le Collectif Fractales propose au public les grandes œuvres du répertoire de musique de chambre classique.
Il commande et présente chaque saison entre trois et cinq créations contemporaines. Il encourage ainsi le travail de jeunes compositeurs et permet la diffusion des œuvres de compositeurs plus reconnus comme Florentine Mulsant, Benoît Menut, Philippe Hersant, Benoît Sitzia, Bruno Coulais, Corentin Apparailly, Eric Tanguy, Jacques Rebotier, Aurélien Dumont…
Une belle opportunité pour ces jeunes musiciens de rencontrer les compositeurs d’aujourd’hui et de contribuer au dynamisme de la création contemporaine française.
L’association Fractales a été créée en 2015 à l'initiative de Françoise Gneri, musicienne chambriste et professeure au Conservatoire national de Musique et de Danse de Lyon (CNSMD). Rapidement l’association s’est constituée autour d’un collectif de musiciens qui regroupe aujourd'hui une vingtaine de musicien(ne)s étudiant(e)s, ainsi que des enseignants et des musicien(ne)s professionnel(le)s.